vendredi, décembre 1

"Mon fils est homosexuel !"

Quand un garçon révèle à ses parents qu'il est gay, c'est souvent quelque chose de très difficile à vivre pour eux, particulièrement s'ils sont chrétiens et donc a priori hostiles à l'homosexualité. Non seulement ils doivent faire le deuil d'une progéniture, mais ils ont également peur que leur enfant soit malheureux. Et là on peut pas dire que l'Eglise les aide à sortir de cette peur, tant elle véhicule des clichés sur l'homosexualité, perçue uniquement comme source de souffrance( lire à ce sujet le dernier numéro de Famille Chrétienne).

Mais heureusement, il existe aussi des associations qui accueillent ces parents désemparés. Par exemple Contact qui fait un travail merveilleux et qui édité une très belle brochure "Mon fils est homosexuel". Ou alors "Devenir Un En Christ" pour les familles chrétiennes. Grâce à elle, Michel et Monique ont pu dépasser le choc de la découverte de l'homosexualité de leur fils, François, et l'accepter progressivement tel qu'il est, y compris avec son compagnon. Regardez la vidéo de leur témoignage bouleversant(faites le vite car elle ne devrait pas rester longtemps en ligne) et dites-moi ce que vous en pensez ! (NB: la vidéo dure 30 mn et comporte aussi les interventions d'un prêtre et d'un spécialiste en communication).

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je n'arrive pas à lire la vidéo.

Par contre, je veux te suggérer un court métrage que je trouve vraiment cool, et qui parle du même thème.

«Miles Apart»:
* Le trailer: http://youtube.com/watch?v=hboyHps3Wb8
* Le film (19 min): http://youtube.com/watch?v=s_ci_M8lxn8

Georges

Jean-Marc a dit…

Il faut que tu télécharges Real Vidéo pour pouvoir voir la vidéo. C'est expliqué sur le site de KTO.

Quand à "Miles Apart", le trailer m'a donné envie de voir le film en entier. Merci d'avoir partagé cette découverte.

Anonyme a dit…

Merci, Marc, j'ai regardé le reportage sur le site de KTO. Cependant il me semble que la KTO nous prend toujours pour des malades mentaux. Le compagnon de François n'est pas dans le reportage, donc pourqoui parler alors d' "acceptation"?